L’utilisation du drone est révélatrice des grandes ambitions de Cotter et de son souci du détail. Car l’appareil va bien plus loin qu’une caméra classique. “L’angle de vision qu’il propose est très précis et très intéressant, développe Stéphane Boiroux. Quand on filme avec une caméra fixe, soit on la met dans l’axe du terrain, soit on la met sur le côté. Sur le côté, on ne voit que la ligne d’affrontement et la profondeur. Et derrière, on ne voit que la largeur. Avec le drone, qui survole à une vingtaine de mètres d’altitude, on a un angle de vision à 45 degrés. C’est le seul point de vue qui permette de suivre une action sur la profondeur, la largeur et aussi les directions de course.”…
MIDI LIBRE – PATRICE ESPINASSE – Lire la suite >>
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